La Grande Tournée SST se renouvelle chaque année et permet aux employés d’être sensibilisés sur la prévention en santé et sécurité de façon ludique et imaginative. L’édition 2016 n’a pas fait exception: que ce soit avec la conférence de Jonathan Plante, un travailleur de la construction accidenté, ou avec Frances Boyte, nutritionniste, les kiosques animés par des employés et le cours de «zumba mollo», les organisateurs ont pu rejoindre des centaines d’employés partout dans l’entreprise.

Quelques témoignages

«Oui, c’était intéressant ce qu’on a vu dans l’autobus. J’ai bien aimé la vidéo.»
Mustapha Samaali, Entretien CT Legendre

«Cet équipement (harnais pour le travail en hauteur) doit être certifié et obtenir un sceau d’ingénieur pour s’assurer qu’il soit conforme aux normes en vigueur.»
Dominic Chaussée, Ingénierie

«C’est bien, ce qu’on a appris aujourd’hui. Il y a des gens qui devraient faire plus attention, ils pensent que le malheur, ça n’arrive qu’aux autres.»
Franklin Payant, Entretien CT Legendre

«J’ai rencontré environ 70 chauffeurs aujourd’hui au CT Legendre pour leur expliquer les ajustements ergonomiques du siège. Ils étaient assez bien positionnés dans l’ensemble.»
Annie Beaumier, agente de formation

«On montre aux changeurs comment désamorcer les situations difficiles, avec plein d’outils comme une bouteille de Pepsi. Si on la secoue trop fort, ça risque d’exploser. Mais si on la laisse reposer, la pression baisse. C’est la même chose avec les clients, il faut les laisser se calmer et faire descendre la pression.»
Jérémie Ashby, gérant de stations

«J’ai fait l’essai des premières maquettes d’Azur, compte tenu de mon poids et de ma grandeur. Je touchais au plafond avec mes 6 pieds 1 pouce. Finalement, la nouvelle loge de conduite est beaucoup plus confortable, on a de l’espace pour les jambes. Le champ de vision est bien meilleur qu’avant, la loge est mieux ventilée, éclairée et insonorisée.»
Régent Vaillancourt, opérateur

«La fibre optique à nu a la grosseur d’un cheveu, mais compte tenu de sa rigidité, elle peut casser et s’introduire dans un vaisseau sanguin, monter au cœur ou au cerveau, ce qui peut avoir des conséquences très graves. Son rayon lumineux peut tout aussi bien brûler la rétine et occasionner des dommages irréparables. Dans tous les cas, il faut bien se protéger en la manipulant.»
Yannick Tremblay, technicien, électronicien station

«Ces sacs ont été pensés pour contenir tout le matériel dont un parcoureur peut avoir besoin pour intervenir sur la voie. Il n’y a pas de perte de temps pour réparer un isolateur ou un crapaud. Tout est là.»
Michel Laforest, contremaître et Sylvie Lépine, parcoureur

«La matraque a beaucoup évolué depuis les débuts du métro dans les années 1960. Nous sommes les premiers au Québec à utiliser une matraque de conception allemande, télescopique, qui se déploie très facilement en situation d’urgence. Les gens ne savent pas qu’on peut s’en servir comme bouclier (pour tenir quelqu’un à distance) ou pour passer des menottes. La plupart du temps, on réussit à neutraliser les individus agressifs et c’est en dernier recours qu’on l’utilise comme moyen de défense.»
Lieutenant Christopher Jodoin

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