Avec plus de 200 activités réparties un peu partout dans la métropole et échelonnées du début de la soirée aux petites heures du matin, la nuit du 1er au 2 mars a fait le bonheur des curieux et des noctambules. C’était la Nuit blanche; un événement dont la popularité ne fait plus de doute, mais qui représente tout un défi pour les équipes de la STM.
Les clients l’ont constaté : nous étions prêts. Les métros ont roulé toute la nuit, avec quelque 125 000 déplacements. Le Transport adapté était à l’oeuvre jusqu’à 4 h du matin ainsi qu’un service spécial de bus qui couvrait plus de 60 arrêts où avaient lieu les festivités.
Les changeurs, chauffeurs, préposés, opérateurs, inspecteurs, organisateurs et autres employés impliqués méritent toutes nos félicitations pour la réussite de l’événement, car à l’arrière-scène de cette belle et longue nuit, rien ne pouvait être laissé au hasard.
La rigueur des équipes à l’Entretien bus
Parmi les équipes qui ont dû se retrousser les manches pour assurer le succès de la 11e Nuit blanche, il y a entre autres l’Entretien bus. « Ce n’est pas un contrat facile, explique d’entrée de jeu Alain Deveau, surintendant – Pièces et fabrication. Cette année plus que jamais, Guy Bolduc (chef de section – Planification), Gino Matteo (chef d’opérations – Événements spéciaux) et leurs équipes ont fait un excellent travail de planification. »
« Il a d’abord fallu définir les besoins : cinq bus à Frontenac, six à Saint-Denis et cinq à Legendre, dit-il. Nous avions aussi prévu sept véhicules à Mont-Royal pour tout imprévu. Il nous fallait des bus de 40 pieds, avec des rampes et des caméras en parfait état de marche. Les véhicules devaient aussi être disposés à l’avance dans des voies de stationnement, avec des statuts de disponibilité, afin qu’ils ne soient pas assignés avant l’événement, soit à compter de samedi à 19 h 30. »
« Pour ma part, j’ai assuré un suivi constant avec chacun des centres de transport dès le vendredi, ainsi qu’avec Cogeco Metromédia, qui devait voir à ce que les bonnes publicités soient affichées sur les bus de la Nuit blanche. Tout a finalement été comme sur des roulettes, mais ça a nécessité beaucoup d’organisation et beaucoup de rigueur. C’est toujours une expérience particulière, mais je suis bien content », conclut Alain Deveau, tout en soulignant que ce travail est effectué en surplus du service régulier pour les équipes impliquées.
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