Trois cents bus flambants neufs cherchent chauffeurs souriants et ayant de la classe (permis 1, 2 ou 5) pour de longues promenades en ville.
Avec l’arrivée des nouveaux bus et la bonification du service qui en découlera, il nous faut recruter plus de 500 chauffeurs. Parlez-en autour de vous, il n’y a pas meilleurs ambassadeurs de la STM que ses employés. Qui sait, vous serez peut-être responsable d’une belle et longue histoire d’amour, comme celle que vit Martin Rockhead, chauffeur depuis 27 ans.
Changer de carrière
«J’avais un diplôme du Collège LaSalle, j’étais dans le milieu de la mode depuis des années. J’étais très loin de m’imaginer devenir chauffeur. Mais un jour, une connaissance qui travaillait à la STM m’a suggéré de postuler. J’ai décidé de tenter ma chance, par curiosité. Quelque temps plus tard, j’étais derrière le volant!», raconte Martin.
Aucun regret pour ce chauffeur du centre de transport Frontenac, qui se sent plus utile que jamais. «Avant, je vendais de la guenille, mais là, je rends un vrai service. J’amène les gens à leur première date, à l’hôpital, au travail. J’aime ça. Je dis bonjour à tous les clients qui entrent dans mon bus et je leur souris, même quand ils semblent de mauvaise humeur. Je vois parfois leur visage changer, ils me font un petit sourire en retour. Ça me valorise de faire en sorte que pour quelques secondes, ils se sentent un peu mieux.»
Pour Martin, le plus important, c’est d’aimer travailler avec le public. Mais la patience et la résistance au stress sont pour lui d’autres qualités très utiles pour mieux faire face aux aléas de la route.
Vous avez un candidat en tête? Invitez-le à postuler sur stmemplois.com/chauffeurs.
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