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Par une belle Nuit blanche

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Une partie de l’équipe des commis divisionnaires du métro.

 

Dans la nuit du samedi 27 au dimanche 28 février, de nombreux employés du bus et du métro étaient en poste afin d’assurer les déplacements des participants et fêtards de la Nuit blanche. Merci à tous ceux et celles qui ont contribué au succès de cet événement qui, sans la STM, ne pourrait sans doute pas exister dans sa forme actuelle.

Cette année, l’En Commun souligne le travail des commis divisionnaires du métro qui jouent un rôle essentiel dans le cadre de la Nuit blanche. Enrico Chartrand, chef de bureau à l’Exploitation des trains, en sait quelque chose.

«Le rôle des commis divisionnaires, lors de la Nuit blanche, consiste à assurer que les quarts de travail en lien avec les opérations du métro — changeurs, opérateurs, employés du service à la clientèle, etc. — sont couverts pour l’occasion. Notre mandat en ce sens commence deux ou trois semaines avant, lorsque nous recevons la planification des pièces qui sont créées en extra pour chaque ligne et chaque station.»

C’est alors que les commis divisionnaires entreprennent les innombrables appels téléphoniques nécessaires à cette organisation complexe. «Nous informons les employés qui sont déjà en poste ce soir-là que la nuit est disponible et nous leurs demandons s’ils veulent continuer. Ce sont eux qui ont priorité. Pour les opérateurs, c’est un peu plus compliqué, car en cas de refus, le commis doit créer une pièce plus longue, tandis que pour les employés en station, nous pouvons nous tourner vers la personne qui fait l’ouverture du dimanche.»

Un peu mêlé? C’est normal, car même pour les commis, c’est tout un casse-tête qui se met en place pour cette nuit bien spéciale. D’ailleurs, la veille de l’événement, c’est le branle-bas-de-combat, admet Enrico, car il s’agit alors de gérer les imprévus, les absences, les annulations… Les employés qui étaient réserve et qui ont été appelés en renfort doivent aussi être contactés, et tout ça, en plus du service complémentaire donné en extra, autre que la relève.

«Les commis divisionnaires font toute une job pour la Nuit blanche, dit-il, et chacun des 16 membres de l’équipe est sollicité de près ou de loin. Il faut concilier les changements dans des registres, s’assurer que les clés de facturation sont reliées avec précision dans les feuilles de temps électroniques et que toutes les pièces sont répertoriées correctement. C’est beaucoup de travail et je lève mon chapeau à toute l’équipe.»

Galerie de photos de la Nuit blanche
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