Passionnée des chiffres, Marie-Lou Bienvenue devrait se plaire aux Régimes de retraite, où il importe de bien calculer les revenus potentiels et réels des participants. «Au Cégep, j’ai complété un DEC en administration avec mathématiques, une discipline que j’adore. Lorsqu’est venu le temps de choisir un programme universitaire, j’ai vu que l’actuariat pourrait m’intéresser. C’est un domaine assez vaste, qui englobe les régimes de retraite, mais aussi les assurances collectives et d’autres types d’assurances. Durant mon baccalauréat en actuariat à l’UQAM, j’ai complété des stages en assurances collectives et en régimes de retraite. J’ai terminé mon bac juste avant le début de la pandémie et quelques mois plus tard, j’étais embauchée par la Ville de Montréal.»
Un beau soir, Marie-Lou a appris que la STM était à la recherche d’une agente – Assurances et rentes parmi l’équipe du service des Régimes de retraite. «Je me suis dit, pourquoi ne pas appliquer? J’étais bien à la Ville, mais le poste de la STM m’intéressait davantage. L’entrevue et les tests se sont très bien passés, j’ai trouvé l’équipe accueillante et je souhaitais vraiment en faire partie. Quand j’ai reçu l’offre, je n’ai pas hésité une seule seconde, d’autant plus que je suis une cliente régulière de la STM! J’adore Montréal et j’aime prendre le métro. On a vraiment un bon réseau de transport collectif ici, on peut en être fiers.»
Et qu’en est-il du travail en temps de pandémie? «Mon intégration se passe bien. J’étais déjà en télétravail avant d’arriver à la STM, donc ce n’est pas un gros changement. Pour le moment, je travaille principalement à procéder aux évaluations de rentes de retraite demandées par les participants des régimes ainsi qu’à appuyer l’équipe dans le traitement des dossiers de rachats de participation. Ma familiarisation avec le système complexe d’administration des régimes de retraite va bon train, ce qui me permettra, lorsqu’elle sera complétée, de m’impliquer dans les autres tâches qui m’attendent comme les départs, les transferts et les décès des participants. Je contribue également à l’optimisation des processus dans le cadre de la nouvelle réalité virtuelle avec laquelle nous devons composer dans notre travail. Au fond, la pandémie favorise les changements et encourage notre capacité d’adaptation!»
Lorsqu’elle ne compte pas, Marie-Lou pratique le jogging, la randonnée ou le patin, un sport qui n’a pratiquement plus de secrets pour elle. «J’ai fait du patinage artistique durant 16 années, en plus de l’enseigner quelque temps. C’est certain que je patine moins souvent qu’avant, mais c’est un sport que j’aime encore pratiquer dans mes temps libres!»
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