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L’équipe GMRCL gagne à être connue

 

Dans le cadre de notre série Sous les projecteurs

L’équipe Gouvernance métropolitaine et relations avec les collectivités locales (GMRCL). Rangée du haut: Josianne Paradis et Jade-Emilie Daigneault. Rangée du centre: Estelle Beaudry, Sophie Rebello et François Arsenault. Rangée du bas: Paule Favreau-Lessard et Cybèle Tran.

La STM évolue dans un écosystème complexe et doit prendre en compte plusieurs acteurs, que ce soit au niveau de la gouvernance métropolitaine ou des collectivités locales. Pas toujours facile de s’y retrouver et d’emprunter la bonne voie! Heureusement, une équipe est là pour guider les divers secteurs de l’entreprise dans ses méandres. C’est l’équipe Gouvernance métropolitaine et relations avec les collectivités locales (GMRCL), associée à la direction exécutive Planification et finances.

Le nombre croissant de projets menés par la STM, ainsi que la venue de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), ont mené à la création de cette équipe en 2017. En plus de sa gestionnaire, Sophie Rebello, elle compte deux conseillères corporatives – Relations collectivités locales, Estelle Beaudry et Cybèle Tran; deux coordonnateurs – Gouvernance métropolitaine, François Arsenault et Paule Favreau-Lessard; et deux conseillères – Relations collectivités locales, Jade-Emilie Daigneault et Josianne Paradis. S’y joindront bientôt des agents de liaison.

Gouvernance métropolitaine

L’équipe GMRCL négocie les ententes de rémunération et le partage des responsabilités, agit comme point de contact unique avec l’ARTM pour assurer la cohérence des interventions de la STM, et gère les relations avec les partenaires métropolitains. Elle joue également un rôle de soutien pour accompagner les équipes qui sont interpellées par l’ARTM. Sa compréhension fine du financement et des champs d’intervention prévus à la loi qui régit l’ARTM sont essentiels à l’adaptation de la Société à la nouvelle gouvernance, une priorité de son plan stratégique organisationnel.

« On participe aussi à la coordination de certains gros dossiers liés à l’exploitation, comme la mise en service du SRB Pie-IX et du REM », précise François Arsenault. « On s’assure de réunir toutes les conditions gagnantes pour faire du projet un succès. Avec l’ARTM, on en est maintenant à près d’une trentaine d’ententes différentes, en plus de l’entente de service. Toutes ces ententes nécessitent un encadrement, un suivi. On ne chôme pas! »

Relations avec les collectivités locales

L’équipe accompagne également la STM pour favoriser l’acceptabilité sociale de ses projets, réduire l’impact de ses interventions et faciliter la réalisation des projets. Concrètement, cela consiste à élaborer des stratégies basées sur des analyses des parties prenantes externes, participer aux analyses de risque des projets, planifier et organiser les activités d’information et de participation publique. L’équipe joue également un rôle de première ligne auprès des arrondissements, assurant les liens avec la direction et les élus. Elle travaille en étroite collaboration avec le cabinet du président de la STM.

Une des façons d’y arriver, c’est en faisant la tournée des arrondissements, comme nous l’explique Estelle Beaudry : « Après chaque élection municipale, on rencontre les élus, surtout les nouveaux, pour leur présenter la STM. Ça prend environ deux années pour faire la tournée des 19 arrondissements et 15 villes liées. Pour le moment, on est en mode virtuel mais dès qu’on le pourra, on reprendra les rencontres en personne car c’est plus vivant. »

Faire connaître la STM, tout le temps

Vous l’aurez deviné, tous les membres de l’équipe sont des « fans » de la STM qui connaissent bien l’entreprise. C’est notamment le cas de Cybèle Tran, actuellement assignée aux grands projets métro dont le Prolongement de la ligne bleue. « C’est une équipe qui nous permet de faire connaître l’entreprise et les belles choses qu’elle fait. Quand j’ai débuté, en 2000, il n’y avait qu’un poste et on répondait surtout aux demandes des conseillers municipaux. Maintenant, on joue un rôle proactif, avec des messages clairs qui parlent des défis et des approches de l’entreprise, notamment le développement durable. On établit des liens de confiance solides, tout en étant à l’écoute de la communauté. »

« Ce qu’il y a de bien ici, c’est qu’on parle à plusieurs équipes de la STM », ajoute Jade-Emilie Daigneault. « Ça nous permet d’avoir une bonne connaissance de l’entreprise en général. » Sa collègue Josianne Paradis est du même avis : « Ça nous permet d’avoir une vision plus globale de l’entreprise et de ses enjeux. Notre travail consiste également à saisir la réalité des parties prenantes externes. » Fait à noter, trois membres de l’équipe ont œuvré auparavant à la réalisation des mesures préférentielles bus (MPB), dont Paule Favreau-Lessard : « Pour travailler dans l’équipe des MPB, il faut aussi avoir un profil de gestion de projets et de coordination de partenaires, mais il y a une part qui est assez technique. À la GMRCL, il faut avoir une vue d’ensemble de plusieurs projets de plusieurs secteurs, et on est davantage dans la gestion des relations et la négociation. »

Laissons le mot de la fin à Sophie Rebello : « C’est une équipe agile, résiliante, engagée, qui possède une vision commune claire de ce qu’elle peut apporter à l’entreprise. Les membres de l’équipe ont beaucoup de jugement et de doigté; il en faut car le contexte politique peut parfois être délicat. Il faut le reconnaître, la STM est très remarquée à Montréal et en plus, l’ARTM change la donne. Notre approche organisationnelle nous aide à voir venir les choses et à s’adapter. »

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