Depuis 2009, les Montréalais possèdent des arguments pour démontrer que le fait de prendre le transport collectif contribue à la qualité de l’air de leur ville. Ajoutons-leur une nouvelle bonne raison d’invoquer leur fierté à se déplacer en bus et en métro : nous contribuons à leur bonne forme.
Denise Vaillancourt, directrice exécutive Planification, marketing et communications, a donné le signal de départ de ce message en participant dernièrement au sommet Montréal physiquement active. Mis sur pied par Québec en forme, un organisme qui vise à promouvoir un mode de vie physiquement actif, ce sommet a réuni des acteurs de tous les milieux dans un but commun : amener les Montréalais à combattre la sédentarité qui les gagne. Qu’y faisait la STM?
« Nous avons un message à transmettre comme quoi notre service contribue à garder la forme, explique Denise Vaillancourt. Nous faisons partie de la solution pour rendre notre population plus active ».
Ce message s’inscrit dans l’image de marque que nous arborons déjà fièrement. La STM permet à la ville de mieux respirer, et elle constitue la meilleure solution de transport pour vivre la ville à travers ses activités et ses événements. Si on tient compte du fait que les déplacements à pied d’un point à un autre contribuent à notre santé, on ajoute à l’importance de notre service envers la population!
Des arguments chiffrés
Mais comment prouver qu’un déplacement, ne serait-ce pour aller prendre sa correspondance, contribue à sa bonne santé? « Nous avons des chiffres, explique Denise. Ils sont tirés d’études réalisées par la Chaire d’études en mobilité de Polytechnique. La dernière édition de l’enquête Origine-Destination a servi à évaluer les distances que couvrent nos clients. » C’est ainsi qu’on observe que dans une journée, un utilisateur moyen du transport collectif montréalais marchera pendant 32 minutes. Cet exercice représente l’équivalent d’environ 3 300 pas par jour. Sachant que dans une journée normale, une personne effectue entre 6 000 et 7 000 pas, on arrive à près de 10 000 pour l’utilisateur de bus et métro, ce qui équivaut à un objectif reconnu de mise en forme par des experts en santé.
La preuve en est donc faite : le transport collectif contribue à la qualité de l’air, à décongestionner les artères de la ville… et celles de ses utilisateurs! On peut d’ailleurs en voir un bon exemple sur la photo de l’article au bas de cette page. Surveillez les différentes déclinaisons de ce message apparaîtrons au courant de l’année à travers nos partenariats.
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