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Bonjour, je m’appelle Loran Smolkin

 

Loran est conseillère en équipement et mobilier urbains.

Je suis née en Israël de parents originaires de l’URSS, aujourd’hui l’Azerbaïdjan. Je suis arrivée à Montréal à l’âge de trois et demi. Je souhaitais travailler à la STM depuis longtemps! J’ai grandi ici et j’ai toujours utilisé le transport collectif. Toute jeune, je savais que je voulais m’orienter vers l’architecture, l’urbanisme et l’aménagement. J’ai complété un baccalauréat à l’Université Concordia en études urbaines, avec une mineure en géographie. Ensuite, j’ai fait une maîtrise en aménagement du territoire et développement régional à l’Université Laval. J’ai vu un peu les deux mondes, le rural et l’urbain, mais c’est davantage l’urbain qui m’interpelle.

Après mes études, j’ai travaillé comme conseillère en urbanisme durant un peu plus d’un an pour une firme privée en ingénierie. À la STM, je suis entrée comme conseillère en équipement et mobilier urbains. C’est un peu différent, évidemment, mais c’est le même concept en général, seulement un peu plus spécifique en termes d’aménagement. On retrouve la même collaboration avec les diverses instances, comme la Ville de Montréal par exemple. Cela fait seulement un mois que je suis ici mais c’est très intéressant, j’apprends beaucoup. C’est fascinant de voir comment la place du transport peut changer dans la ville.

Pour l’instant, je suis responsable des abribus de type Québecor. Je m’occupe de l’installation, mais aussi de l’analyse préalable. Il faut étudier l’achalandage, l’utilisation, l’espace disponible, les emprises et leurs propriétaires, l’aménagement existant et à venir, l’électrification ou non. Il peut aussi y avoir un égout, une borne fontaine, un feu de circulation, un arbre, une intersection… Parfois, on s’arrime à un projet de réaménagement de la Ville et c’est moins coûteux. Il y a aussi une dimension politique qu’on ne peut ignorer. Bref, mon rôle principal est de conseiller la STM dans sa prise de décision.

Sinon, j’ai un petit chat, qui demande beaucoup d’attention! Ma mère possède aussi des bâtiments à Montréal et je l’aide à gérer tout ça. Je n’ai pas de loisir en particulier, j’aime un peu tout. C’est certain que la pandémie a eu un impact, car j’étais plus active auparavant!

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