Amylie Fournier a joint les rangs de la STM il y a quelques semaines à titre de technicienne aux Communications institutionnelles. En plus de collaborer aux médias internes et à un paquet de projets, elle est appelée à encadrer la planification d’événements.
C’est une expertise qu’elle connaît bien. Avec les années, dans ses emplois précédents, Amylie s’est spécialisée notamment dans le vaste domaine de la philanthropie, qui rime bien souvent avec la tenue d’événements-bénéfice.
« Après mon baccalauréat en Communications marketing à l’UQAM, j’ai commencé à travailler à la Fondation du cancer du sein du Québec et, plus tard, à la Fondation du collège Montmorency, explique-t-elle. J’ai veillé à l’organisation et à la tenue de différents événements, remises de bourses et autres galas. »
Amylie a aussi travaillé pour l’association des Manufacturiers et Exportateurs du Québec, un emploi dans le cadre duquel elle fait découvrir des métiers méconnus à des étudiants, en faisant du jumelage entre des jeunes et des employeurs potentiels.
« Œuvrer pour les citoyens et contribuer à offrir un service de qualité à la population, ce sont des valeurs professionnelles que je retrouve à la STM. J’apprécie tout particulièrement les environnements dynamiques et le travail en équipe. Avec tous les projets en cours à la STM, ses nombreux départements, sa mission environnementale, je trouve que c’est très gratifiant! »
Une rose dans le désert
Amylie est une aventurière. Elle est une passionnée de randonnée en montagne et en forêt. Et partout où elle va, elle s’assure de pouvoir profiter du coucher du soleil. L’astre qui disparaît à l’horizon, alors qu’une autre face de notre planète se tourne vers lui, c’est une véritable une passion pour Amylie. «Rien ne me fait vivre le moment présent comme un coucher de soleil.»
Ce qui ne veut pas dire qu’«aventure» rime nécessairement avec «contemplation», dans le cœur d’Amylie, bien au contraire. Il y a quelques années, elle a participé au Trophée Roses des sables, un rallye féminin tenu dans le désert du Maroc.
«C’est une course de 5000 kilomètres en 4×4 à laquelle j’ai participé avec une amie en tant que copilote, se souvient-elle. Pour s’inscrire, il fallait d’abord amasser 25 000 dollars, dont une partie allait être remise à des fondations puis, une fois dans notre véhicule, j’étais en charge de nous diriger dans le désert.» Toute une aventure, pour de bonnes causes!
Bienvenue parmi nous et merci de nous partager ta belle énergie, Amylie!
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