Mireille Marois a récemment été embauchée au poste d’inspecteur de travaux à la section Mise en œuvre (MEO), équipe qui a fait l’objet d’un portrait dans notre numéro de janvier. Son numéro de matricule est le 45000. Oui, le 45000! «Quand je le dis, on me demande toujours la suite, alors je dois ajouter ‘triple zéro’ ou ‘tout court’! Mais dans l’ensemble, c’est un numéro qui se porte très bien.»
Lors de son embauche, Mireille connaissait déjà la STM puisqu’elle a œuvré durant près de cinq années comme inspecteur de travaux au Bureau de projets infrastructures métro (BPIM), pour le compte de SNC-Lavalin. Lorsqu’un poste semblable s’est ouvert à l’interne, elle n’a pas hésité. «Cela m’intéressait beaucoup, car c’est un bon environnement de travail. J’ai travaillé sur les chantiers du BPIM aux stations Jolicoeur, Jean-Drapeau et Crémazie, et maintenant j’apprends les rouages du réseau de surface. Ici au CT Mont-Royal, on change les réservoirs d’huiles usées, on refait le pavage, et on reconstruit une partie du plancher de l’atelier.»
«Ce qui m’a amenée à travailler dans le génie civil, c’est que j’aime le concret. Sur un chantier, on réalise les plans et devis de l’Ingénierie et on s’assure de la bonne exécution des travaux. Cela demande une très grande coordination entre les différents entrepreneurs et l’Exploitation du réseau bus. Nous sommes là pour nous assurer que le chantier se déroule selon l’échéancier prévu. Je pense que les inspecteurs sont de mieux en mieux perçus sur les chantiers, car les gens comprennent que nous sommes là pour les aider.»
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