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Bonjour, je m’appelle Justine Lord-Dufour

 

Justine est conseillère corporative – Affaires publiques.

« J’ai toujours été très intéressée par les médias. Toute jeune, je lisais déjà les journaux et j’écoutais les bulletins de nouvelles et les émissions d’affaires publiques à la télévision. Je répondais aux chroniques de Pierre Foglia, dans La Presse, et une fois il a publié mon texte! Œuvrer dans le domaine des relations publiques faisait donc du sens, quoique j’ai débuté mes études en anthropologie. Là aussi, il y avait un lien avec l’être humain, son évolution et son comportement en société, mais c’était plutôt conceptuel et je cherchais quelque chose de plus concret, alors j’ai changé de domaine et complété un diplôme en relations publiques à l’UQAM.

« Les relations publiques, c’est un monde très diversifié. Tu plonges dans toutes sortes de domaines, tout le temps, et tu apprends plein de choses qui pourront te servir plus tard. J’ai commencé ma carrière au sein d’organisations œuvrant dans le domaine de la culture (Juste pour Rire, Audiogram), pour ensuite joindre les rangs de la branche montréalaise de l’agence de relations publiques Edelman. J’ai fait la promotion de marques québécoises à l’international, et vice-versa. Ça m’a menée au Cirque du Soleil, où j’ai contribué au rayonnement mondial de l’entreprise en tant qu’attachée de presse principale. On recevait les grands médias de partout.

« Avec la pandémie, le Cirque a réduit ses effectifs et j’ai été brièvement consultante, avant de passer chez Ivanhoé Cambridge où j’ai fait un peu de tout en communications et en publicité. Mais je souhaitais revenir aux relations publiques, et la STM m’a offert cette opportunité. Pour moi, c’était parfait car je suis une fervente utilisatrice du transport collectif. J’ai même fait partie du panel de discussion Ma voix, ma STM dès ses débuts. J’habite le Vieux-Rosemont et j’utilise la voiture le moins possible. La voie réservée sur le boulevard Saint-Joseph, je l’adore! Mon rôle principal en tant que porte-parole de l’entreprise est de protéger sa réputation et de la faire rayonner dans les médias.

« Je suis également allée à la STM parce que la notion de service public m’attire beaucoup. J’ai travaillé auparavant au Parc olympique et ça n’a pas été facile de mettre en valeur cette grande infrastructure, tant les détracteurs du Stade sont nombreux. Mais au Parc olympique, on était le plus souvent dans l’ombre, alors qu’à la STM, les projecteurs sont toujours braqués sur nous. Avant de travailler ici, je n’avais jamais reçu une dizaine de demandes d’autant de médias en une seule journée. Comme le disait récemment Marie-Claude Léonard, la STM est une ville dans la ville et par conséquent, ses enjeux rejoignent ceux de la société montréalaise.

« J’ai deux enfants en bas âge (3 et 5 ans), alors ça m’occupe beaucoup! Mes activités sont donc surtout familiales, mais j’adore aussi cuisiner, recevoir les amis, aller au chalet familial… Je m’implique également au sein de la Caisse populaire de mon quartier. Bref, j’ai une vie bien occupée! »

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